Fête des mamans aux ailes d'ange !!
A l'ancre de mon coeur amarrée à toi
Ces années face au berceau marbré, funeste
Je ne peux oublier la chaleur de ce toit
Où les cadeaux enrubannés jouaient l'orchestre
Aujourd'hui rien ne peut changer!
Un bouquet de fraîcheur avec foi se dépose
Aux dites échéances inoubliables sans pouvoir oublier
Le digne ruban de satin en deuil en contraste avec la rose
Parfois ces fleurs portent l'unique couleur de l'amour
Suivant mes pensées ,elles se font, éclats d'arcs en ciel
J'emmêle les accortes aux épines aussi tendre que le velours
Mon coeur accouple mes joies et le manque de miel
Les sentiments fouettent et composent ces défis
Entre l'adoration qui repose dans la dernière demeure
Ces blessures corrosives égratignant ma chair ma mi
L'ornement d'un espace champêtre dessine un bonheur
D'un champs de Marguerites,coquelicot bercés par le vent
Dont l'arôme du bas en haut t’enivre de maux chuchotés
Face au choix d'un panaché sur tel édifice de ciment
Où s'assemble l'aigrette en poésie d'un charme brassé
Qu'importe Maman ce que mes mains tremblantes
Épingleront dans ces vases gravés à ton nom
Ce présent t'avouera encore pour un temps de charmantes
Dissertes où des bégaiements s'infiltreront sans permission
Ces paroles abandonnées au fond de ma gorge
Sont les larmes que je cache à mon plus beau écrin
Ce bijou fait de diamants dont la clef fondit dans la forge
Ma Maman que l'on exila un jour de mes mains
Une mère est un cadeau qui n'a pas de prix
On ne peut ensevelir ou le déguiser en ange
Je conserverais pour l'éternité ce qui fait ma folie
Le son, l'image,la lumière de tes yeux Lilas, dernière vendange ...
LILASYS
A l'ancre de mon coeur amarrée à toi
Ces années face au berceau marbré, funeste
Je ne peux oublier la chaleur de ce toit
Où les cadeaux enrubannés jouaient l'orchestre
Aujourd'hui rien ne peut changer!
Un bouquet de fraîcheur avec foi se dépose
Aux dites échéances inoubliables sans pouvoir oublier
Le digne ruban de satin en deuil en contraste avec la rose
Parfois ces fleurs portent l'unique couleur de l'amour
Suivant mes pensées ,elles se font, éclats d'arcs en ciel
J'emmêle les accortes aux épines aussi tendre que le velours
Mon coeur accouple mes joies et le manque de miel
Les sentiments fouettent et composent ces défis
Entre l'adoration qui repose dans la dernière demeure
Ces blessures corrosives égratignant ma chair ma mi
L'ornement d'un espace champêtre dessine un bonheur
D'un champs de Marguerites,coquelicot bercés par le vent
Dont l'arôme du bas en haut t’enivre de maux chuchotés
Face au choix d'un panaché sur tel édifice de ciment
Où s'assemble l'aigrette en poésie d'un charme brassé
Qu'importe Maman ce que mes mains tremblantes
Épingleront dans ces vases gravés à ton nom
Ce présent t'avouera encore pour un temps de charmantes
Dissertes où des bégaiements s'infiltreront sans permission
Ces paroles abandonnées au fond de ma gorge
Sont les larmes que je cache à mon plus beau écrin
Ce bijou fait de diamants dont la clef fondit dans la forge
Ma Maman que l'on exila un jour de mes mains
Une mère est un cadeau qui n'a pas de prix
On ne peut ensevelir ou le déguiser en ange
Je conserverais pour l'éternité ce qui fait ma folie
Le son, l'image,la lumière de tes yeux Lilas, dernière vendange ...
LILASYS