Toi et moi
Tu es une femme comme moi, mais je te désires,
Je suis en plein délire,
Les autres me jugeront, mais je m'en contrefiche,
Ils ne voient pas, ne comprennent pas,
Mais je leur pardonne pour leur intolérance,
Car je sais, moi, que ce que je ressens a un sens.
Tu as ce qu'un garçon possède,
Mon coeur, à présent, n'est plus raide.
Toi et moi, ne faisons qu'un, maintenant,
Comme ces deux êtres, de sexe différent,
Mais qui s'aiment, comme moi, je t'aime.
Qu'ils rient, qu'ils méprisent,
Peu importe ce qu'ils en disent,
Les ignorants, ne voyant pas que c'est de l'amour !
Mais pourtant, comme eux, nous ressentons ce tambour.
Je t'aime, toi, et toi seule, mon Aphrodite,
Tout est aller trop vite,
Mais je suis heureuse, et trop amoureuse,
Ô mon Dieu, quelle sensation merveilleuse,
Enfin sur tes lèvres, je dépose cette rose immortelle !
Christina Allan